Nous avons donc besoin du numéro de prescripteur hospitalier pour faire ce travail, en coopération avec les présidents de commissions médicales d'établissement (CME) et avec les directeurs généraux d'hôpitaux.
Nous avons beaucoup progressé en ce sens en Champagne-Ardenne comme dans les autres régions de France. Nous y travaillons également avec l'Agence régionale de santé (ARS). Je ne doute pas que nous aboutissions en 2013.