La MECSS a constaté que les systèmes informatiques des différents établissements hospitaliers publics français étaient obsolètes et inadaptés. Elle n'a pu que regretter l'absence d'adaptation de ces systèmes informatiques qui, de surcroît, n'étaient pas articulés avec les systèmes de l'assurance maladie ou les systèmes utilisés en ambulatoire. D'où ce cloisonnement et ces déperditions d'énergie.