En clair, il suffit que des activistes violents occupent le terrain, et toutes les procédures républicaines, la légitimité des élus, vingt à trente ans de travail, pourraient être balayés d’un revers de main par un gouvernement trop faible. Permettez-moi de dire que cette position me scandalise, car je sais qu’elle cache un refus de trancher entre les partisans et les opposants de l’aéroport, y compris – et peut-être même avant tout – au sein même du Gouvernement.