Deux facteurs, le vieillissement de la population active et le développement rapide de certaines pathologies chroniques contribuent à l'augmentation des IJ à la hausse. D'autres facteurs les diminuent. La crise économique du moment en est un. Mais il y a aussi le contrôle opéré par les organismes sociaux ; le contrôle – encore marginal – opéré à la demande des employeurs, sous la forme de signalement ou d'appel à des sociétés de contrôle privées. Et il y a enfin le meilleur accompagnement des médecins prescripteurs, sous la forme d'aide à la prescription, de mise à disposition de références. Je pense que notre investissement, sur l'année 2012, a contribué de façon importante à la maîtrise de la dépense en matière d'IJ.