Effectivement. Demain, quand la fiscalité du diesel sera identique à celle de l'essence, pour amortir le surcoût à l'achat et à l'entretien d'un véhicule diesel – qui sera toujours proposé –, il ne faudra plus faire 20 000 kilomètres par an, mais plutôt 30 000 ou 40 000 : on ne vendra donc quasiment plus de véhicules diesel neufs aux particuliers – en tout état de cause, cette motorisation représentera moins de 10 % à 15 % des immatriculations.