Merci à Chantal Berthelot et aux personnes auditionnées de nous sensibiliser sur cette problématique. Lors de mon périple en Guyane avec Geneviève Gaillard, Mme Blin nous avait permis de rencontrer les populations en plein coeur du Parc amazonien.
L'orpaillage illégal a des conséquences très graves sur les populations. Leur devenir même est en jeu. Il faut préparer l'avenir, certes, mais comment faire pour être plus efficace ?
Alors que neuf tonnes d'or partent on ne sait où chaque année, sans doute faut-il suivre « le fil de l'or » entre le consommateur et le malheureux exploitant – car il faut bien reconnaître que les orpailleurs ne sont que des esclaves. À qui profite le crime ? Certainement pas aux Guyanais…
Une mission d'information s'avérerait très utile pour trouver d'autres pistes, afin de permettre à la population guyanaise de profiter de ses richesses.