Vous avez d’ailleurs pris un drôle d’exemple, monsieur Jacob, en parlant de la révision constitutionnelle. Je me contenterai de vous rappeler que la majorité des trois cinquièmes réunie ici à l’Assemblée nationale en sa faveur, que j’évoque avec prudence, découle du vote d’une partie de la gauche et d’une partie de la droite.