J’ai regretté, cher collègue Éric Ciotti, que la caverne des idéologies ne vous ait pas susurré à l’oreille de renoncer à la défense de cette motion de rejet préalable. Vous êtes un trop bon connaisseur de ces questions et un trop fin orateur pour gâcher votre talent sur des exercices qui, comme l’a dit Pascal Popelin, relèvent de la figure imposée. Vous avez évoqué des marqueurs politiques comme la contrainte pénale. Vous connaissez trop bien ces matières pour savoir que jamais un juge ne prononcera une contrainte pénale en matière terroriste ni en matière d’infraction grave.