Notre majorité a, depuis 2012, fait de l’emploi sa priorité absolue – c’est bien normal. Cette priorité, nous l’avons portée avec volonté. Emplois d’avenir, baisse de l’euro, plan Juncker, nouvelle France industrielle : de nombreux leviers ont été actionnés pour permettre à notre système productif de relancer l’emploi.
À cet égard, une nouvelle étape importante a été franchie avec le plan d’urgence pour l’emploi annoncé par le Président de la République au mois de janvier. Deux dimensions mobilisent particulièrement employeurs, salariés, services de l’État et professionnels de l’emploi : tout d’abord, la prime à l’embauche de 4 000 euros pour les TPE et les PME employant un nouveau salarié – ce coup de pouce est apprécié – ; ensuite, bien entendu, le doublement du nombre de formations proposées aux demandeurs d’emploi, particulièrement dans les secteurs en tension qui ne trouvent pas d’adéquation entre l’offre et la demande d’emploi.
Madame la ministre, alors que toutes les énergies dans nos départements se mobilisent pour assurer la réussite du plan, quel bilan faites-vous aujourd’hui de sa mise en oeuvre ?