Au Sénat, Mme Royal avait déclaré que ces dispositions n’avaient rien à faire dans le texte de loi, car elles avaient trait à la chasse, et non à la biodiversité. Le Sénat est revenu sur l’interdiction hâtive de cet art de capture qui concerne plus de 7 000 chasseurs au poste, tous concentrés dans cinq départements français de notre région.
Je rappelle que la chasse aux gluaux consiste en une capture temporaire d’oiseaux vivants, qui ne sont ni tués, ni blessés. Ils sont relâchés à la fin de la saison de chasse, après avoir servi d’appelant, et ils sont soignés lorsqu’ils sont blessés.