…m’a mis en cause à deux reprises.
Je ne fais pas partie des lecteurs ou des fanatiques de Je suis partout, cher collègue. Ce n’est pas parce que l’on n’est pas d’accord avec vous que l’on doit être étiqueté « fasciste » : de tels arguments ne sont pas dignes de vous, et en tout cas pas dignes de cette assemblée. Nous ne sommes pas là pour nous jeter à la figure des épithètes de ce genre, mais pour contribuer au mieux à garantir la sécurité de nos concitoyens, sujet grave s’il en est. Je vous remercie donc d’éviter les caricatures – je le dis très solennellement, pour la dernière fois j’espère.
Vous m’avez aussi mis en cause sur la déchéance de nationalité : sur ce point, mon opposition à la réforme constitutionnelle tient d’abord à son inutilité. La déchéance de nationalité existe déjà dans le code civil, aux articles 25 et 23-7.