…n’est donc pas vrai. Je rends hommage, à cet égard, au travail de la direction générale de la sécurité intérieure et de la sous-direction antiterroriste, car c’est grâce à ce travail considérable que les individus qui reviennent font l’objet, lorsque nous sommes informés de ce retour, d’actions judiciaires très fortes.
L’accord conclu à l’automne 2014 avec les autorités turques nous permet d’être informés en amont du retour des terroristes et de procéder à leur judiciarisation dès leur arrivée sur le sol français. Cependant, un certain nombre d’individus se sont rendus en Syrie, pour lesquels nous ne disposons pas de preuve d’un engagement dans des opérations terroristes.