Si le journaliste accède aux mêmes zones que le public, il est considéré comme un spectateur même si c’est dans le cadre de sa mission professionnelle. Par contre, s’il s’agit de zones réservées à l’organisation, il ne faut pas le dispenser des mesures de sécurité prises pour s’assurer que tous ceux qui y accèdent ne présentent pas de danger. En conséquence, il n’est pas nécessaire de mentionner les journalistes car leur situation sera appréciée en fonction des droits d’accès qui leur seront conférés. L’avis est donc défavorable.