Le Gouvernement regrette fondamentalement ce qui vient de se passer. Fondamentalement. Le message qui est envoyé n’est pas acceptable. Les aménagements et les réductions de peine ne peuvent être l’objet que d’un travail personnel et d’un engagement de chaque détenu.
Le Gouvernement regrette le vote qui vient d’intervenir. J’indique à l’Assemblée nationale qu’en conséquence, il demandera une seconde délibération sur ce point.