Dans ces affaires, il n’existe pas de clivage entre la droite et la gauche, l’opposition et la majorité. Je me félicite que nous puissions ce matin, tous ensemble et avec le soutien du Gouvernement, nous retrouver afin d’envoyer un signal très fort de répression – dans le cadre de l’individualisation de la peine, donc des principes fondamentaux de notre droit – aux criminels qui se livrent à des massacres, à des attaques terroristes contre notre peuple. Le message que nous venons de délivrer est très important.
En revanche, je regrette que nous n’ayons pas fait preuve de la même unité nationale – cela s’est joué à une voix près – afin d’adresser le même signal aux entreprises qui protègent le secret des communications concernant des actes terroristes.