Intervention de David Douillet

Réunion du 1er mars 2016 à 21h00
Commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDavid Douillet :

L'application du principe de non-régression aurait des conséquences extrêmement graves pour la biodiversité, puisqu'il ne permettrait plus de revenir sur la protection d'une espèce devenue invasive. Or, une espèce prolifère toujours au détriment d'une autre, de sorte que ce principe risque, en supprimant la régulation, de provoquer la disparition de certaines espèces. Il faut donc traiter ce sujet à part pour éviter une catastrophe annoncée.

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