L'application du principe de non-régression aurait des conséquences extrêmement graves pour la biodiversité, puisqu'il ne permettrait plus de revenir sur la protection d'une espèce devenue invasive. Or, une espèce prolifère toujours au détriment d'une autre, de sorte que ce principe risque, en supprimant la régulation, de provoquer la disparition de certaines espèces. Il faut donc traiter ce sujet à part pour éviter une catastrophe annoncée.