Certes, mais l'amendement anticipe sur le résultat du rapport, puisque seul le code de l'environnement y est mentionné. Or, je le répète, l'application de ce principe pourrait avoir des conséquences non seulement sur certaines espèces animales, comme l'a dit David Douillet, mais aussi sur la santé humaine. Chacun sait en effet qu'on s'interroge aujourd'hui sur des produits dont on nous disait en toute bonne foi, il y a vingt ou trente ans, qu'ils pouvaient être consommés sans danger. Il me semble donc utile de préciser que la réflexion ne doit pas être limitée au code de l'environnement.