Je suis peiné que l'on s'engage dans une controverse sur un principe simple, qui a été théorisé, sous le nom de standstill, dans de nombreux pays anglo-saxons bien plus libéraux que le nôtre. Ce principe, je le rappelle, exclut tout abaissement du niveau d'exigence de la protection de l'environnement. Il ne s'agit donc pas de figer l'évolution de telle ou telle espèce : cela n'a pas de sens. S'opposer au principe de non-régression donne une image rétrograde de notre action dans le domaine de la protection de l'environnement. Il ne s'agit que d'un rapport !