Il est évident que, sans l'intervention des chasseurs, certaines espèces auraient disparu de nos plaines, notamment en Ile-de-France. Mais ils ne sont pas les seuls à protéger la faune et la flore ; je pense, par exemple, aux amateurs de plongée sous-marine. Or, cette activité touristique, qui est également importante au plan économique, a disparu des côtes françaises. Supprimer l'article 2 bis A, c'est fragiliser l'action de celles et ceux qui concourent à faire de notre pays un véritable territoire de biodiversité.