Je suis d'avis que nous prenions l'amendement de la rapporteure pour base de discussion, puisqu'il est le fruit d'un travail de trois ou quatre semaines. Il y a certes lieu de le retravailler, mais avec prudence. Et si, comme le demande Mme Delphine Batho, les collectivités, les associations, doivent pouvoir recouvrer le produit de la réparation des dommages subis, l'Agence française pour la biodiversité doit être le garant de l'impartialité de sa répartition vers les différents sites.