Ces organismes de collaboration pérenne sont prévus d'une manière générale. Concernant l'outre-mer, je dis clairement que nous préférons la formulation de « délégations territoriales » qui a d'ailleurs été consacrée dans le rapport que Victorin Lurel et moi-même avions remis à Mme la ministre. À moins que vous ne vouliez nous donner tout de suite l'autonomie de fonctionnement institutionnel et politique… (Sourires)
Aujourd'hui, vous créez un lien dans la connaissance, la préservation et la valorisation de la biodiversité, y compris dans les mécanismes de l'APA, assez rigide sur la question du financement des politiques liées à la préservation de la biodiversité. Mais, dans le même temps, vous coupez ce lien par un organisme qui serait déconnecté de l'Agence. Si c'est le cas, allez jusqu'au bout de votre logique et donnez-nous tous les avantages de l'APA, toutes les retombées et toutes les possibilités de décision sans que l'Agence puisse intervenir. Mais ce n'est pas ce qui avait été convenu. Je précise que je parle de l'outre-mer et non des autres régions de l'hexagone qui pourraient revendiquer autre chose.