Le produit de la redevance payée par 1,1 million de chasseurs français, qui permet à plus de 3 000 professionnels d'agir au quotidien au service de la biodiversité et de la chasse à travers les fédérations départementales et l'ONCFS, représente 70 % des recettes de cet office ; il n'est donc pas anormal que les chasseurs composent la moitié de son conseil d'administration. J'ajoute que ces derniers sont au service de la biodiversité, qu'ils connaissent mieux que quiconque. Si, comme nous le pressentons, on déséquilibre la composition du conseil d'administration de l'ONCFS, on commettra une grave injustice.