Rappelons que, pour qu'une matière active soit exploitée, l'entreprise doit obtenir l'autorisation de la mettre sur le marché, le distributeur celle de la mettre en vente et l'agriculteur celle de l'utiliser. La commercialisation et l'utilisation de produits phytosanitaires sont donc aujourd'hui très strictement encadrées. Dès lors, je ne vois pas l'utilité de confier une telle mission à l'AFB, qui n'aura de toute façon pas les moyens de la remplir. Mieux vaut que cette mission soit exercée par les structures compétentes en la matière.