La police de l'eau est notoirement insuffisante, on peut même considérer que, de fait, elle n'existe plus. Les agents sont très peu nombreux et l'ONEMA n'a plus les moyens de remplir ses fonctions.
Il faut rassurer les agents, certes, mais je crois qu'à terme, dans le cadre de la reconfiguration des différents organismes, la police de l'eau pourrait incomber à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, qui dispose de tous les moyens et personnels nécessaires, sur le territoire, pour pouvoir assurer les deux activités. (Rires)