Nous sommes en train de passer d'une organisation en tuyaux d'orgue – par milieu, par activité – à une organisation plus globale. Il y aura forcément un temps d'adaptation, d'autant que des activités en milieu naturel se développent, que nous ne connaissions pas forcément au départ. Le milieu forestier est fréquenté par des gens qui se promènent à vélo, d'autres qui chassent, d'autres encore qui cueillent des champignons, et personne, de façon globale, n'est à même de faire respecter les règles dans chacune de ces activités. Les coopérations qui se mettent en place sont très saines et préfigurent sans doute une réflexion sur la police des activités en milieu naturel plus que sur la police des milieux.