Je vous remercie, madame de La Raudière, pour les mots que vous avez eus à propos de Sophie Dessus.
Demain, ses obsèques se dérouleront en présence du Président de la République, qui perd en elle une amie chère et une camarade, ainsi qu’en votre présence, monsieur le président. Nous aurons ici même l’occasion de lui rendre hommage, comme vous venez de le rappeler.
Elle va nous manquer en effet, sa ténacité, son sourire, sa bonne humeur et son attachement à la Corrèze vont nous manquer.
Je n’ai pas envie de polémiquer, madame de La Raudière. Vous avez certes le droit de critiquer l’action du Gouvernement et de proposer une alternative, mais votre question est caricaturale, outrancière.