Le renseignement pénitentiaire a ainsi été inscrit dans le deuxième cercle de la communauté du renseignement, grâce à l’adoption de l’amendement que j’ai défendu avec Guillaume Larrivé et Philippe Goujon.
De même, à l’initiative de notre groupe, la période de sûreté a été portée à trente ans pour les criminels condamnés pour acte de terrorisme, et la juridiction peut décider de la perpétuité dite « incompressible ».
Nous avons réintroduit l’autorisation parentale de sortie du territoire pour les mineurs, qu’un précédent gouvernement de Manuel Valls avait supprimé.
Nous avons surtout évité, mes chers collègues, et c’est un point essentiel car cela était pour nous inacceptable, cette folie juridique qu’est l’aménagement de peines liée à la capacité carcérale.