Madame Berthelot, il n'est pas question de nier l'importance des populations autochtones, mais nous nous sommes mis d'accord lors de l'examen du texte en première lecture, après en avoir débattu fort longtemps, pour ne pas retenir l'expression de « communautés autochtones », afin de ne risquer la censure du Conseil constitutionnel. Cela ne nous empêche pas de considérer ces populations avec respect et de prendre en compte leur apport dans le maintien de la biodiversité de notre territoire. Je vous demande de retirer votre amendement, car une décision négative du Conseil constitutionnel aurait des conséquences particulièrement dommageables pour le texte.