Cela fait des années que nous entretenons ce débat au sujet de l'huile de palme, de la déforestation et des problèmes que soulèvent ces questions. Aujourd'hui, alors que nous sommes sur le point d'adopter de bonnes mesures, on trouve des raisons de ne pas les prendre. Je conçois qu'il soit nécessaire d'en mesurer les effets, mais la proposition de la rapporteure me semble équilibrée : elle permettrait au moins de mettre la fiscalité applicable à l'huile de palme au même niveau que les autres huiles que nous consommons. Ce serait la moindre des choses.