Tel qu'il est rédigé, l'amendement que je défends aboutit en effet nécessairement à ce que l'abandon du projet soit « décidé », et non pas seulement « envisagé ». Il s'agit de cas sans doute exceptionnels, la plupart des projets donnant lieu à des mesures d'évitement, de réduction ou de compensation satisfaisantes, mais la proposition de rectification me semble pertinente.