Prenons garde à ne fermer aucune porte : faut-il impérativement abandonner un projet dont les atteintes à la biodiversité ne peuvent être ni évitées, ni réduites, ni compensées, ou ne doit-il pas simplement être révisé sous un autre angle pour trouver d'autres solutions ? Il me semble trop restrictif d'imposer l'abandon d'un projet ; l'amendement initial de Mme Abeille, au contraire, laissait plusieurs options ouvertes, puisqu'il permet non seulement d'abandonner un projet, mais aussi, le cas échéant, d'en revoir la copie si nécessaire.