On voit bien la divergence d'intérêts entre les randonneurs, les agriculteurs qui ont besoin de chemins pour l'accès aux champs, et les communes qui en ont besoin pour contourner les petites villes et éviter le passage d'engins agricoles – un enjeu important dans le contexte de requalification urbaine. Je souhaite donc que l'on crée une instance de concertation pour arbitrer ces choix. Certains chemins, aliénés sauvagement et retournés par les agriculteurs, mériteraient d'être restaurés ; d'autres devraient être aliénés, par exemple lorsqu'ils ne servent qu'à accéder à une exploitation. Je reviendrai en séance sur l'amendement que j'ai proposé.