A-t-on évalué l'impact qu'a eu l'engagement durable de 10 000 militaires dans l'opération Sentinelle sur la préparation opérationnelle des forces ?
Existe-t-il des divergences de vision entre le ministère de l'Intérieur et celui de la Défense quant aux rôles respectifs des forces de sécurité classiques et des forces armées utilisées dans le cadre de l'opération Sentinelle ?
La nature de la menace a évolué, obligeant nos forces armées à changer de posture sur le territoire national par rapport aux dispositions de la dernière actualisation de la LPM. Faudra-t-il procéder à une nouvelle révision de la loi ou bien est-il trop tôt pour en parler ?