Nous en avons livré un peu, mais nous n'en livrons plus aux groupes insurgés. Les États-Unis ont recommencé, mais non la France.
Pour ce qui est de la substitution à trouver au porte-avions, lorsque celui-ci quittera la zone dans le mois qui vient, nous compenserons son absence par des capacités de forces aériennes supplémentaires de l'armée de l'air. En effet, le cycle normal de formation des pilotes nécessite le rappel du porte-avions, le réentraînement, puis le retour du porte-avions sur zone. Les avions de l'armée de l'air prendront le relais.