Je vous rappelle qu'en vertu du principe de précaution, qui a été constitutionnalisé sous la présidence de Jacques Chirac, non seulement un risque avéré, mais une simple suspicion de risque nous autorise à prendre de telles dispositions. Il ne nous permet pas en revanche de bannir l'usage domestique de cette technologie en interdisant aux parents d'exposer leurs enfants aux ondes émises par ces appareils.
Quant au coût, il serait légitime qu'il soit assumé par les opérateurs. C'est ce qu'ils font d'ailleurs quand ils développent la fibre optique.