Tout d’abord, puisque j’ai la parole, je voudrais dire à Mme la présidente de la commission des affaires sociales que je n’ai pas posé la question de savoir pourquoi nous examinions ce texte aujourd’hui alors que nous aurons bientôt à discuter d’un texte réformant le code du travail. Je m’en suis simplement étonné. J’ai également reconnu que, le surlendemain de la journée de la femme, le texte tombait à pic, ce dont je suis personnellement très heureux.
J’en viens à l’amendement. Ce qui m’étonne, c’est que l’argumentation que vous avez développée, madame la rapporteure, pour défendre l’article 1er de votre texte contredit totalement, à mon avis, ce qui justifie l’article 2. C’est pourquoi cet amendement vise à supprimer cet article.