Élue d'un territoire de montagne comptant encore beaucoup de « zones blanches », c'est-à-dire de territoires qui ne sont desservis par aucun réseau, je peux vous dire que le choix de cette dénomination n'est pas heureux, mais bien plutôt susceptible d'inquiéter les habitants de ces territoires très peu denses. Consacrer dans la loi l'existence de zones blanches risquerait de sanctuariser ces déserts numériques.