L'observation de la biodiversité engendre des besoins de sondeurs, de caméras – c'est-à-dire de capteurs – permettant de juger si elle se dégrade ou s'améliore. De même, la restauration de la biodiversité est possible grâce à des techniques relevant du génie écologique côtier, une filière émergente dans laquelle la France a de très bons acteurs et qui exporte. Il peut s'agir de la restauration de la biodiversité dans un port, par exemple. Tout ceci engendre des marchés, mais il a fallu le prouver et c'est en cours de confirmation.