J'ai appris a posteriori que cet exercice avait eu lieu et que des agents du SSA y avaient été associés. À ma connaissance, qui n'est peut-être pas exhaustive, cela a été l'occasion pour eux de s'assurer de leur capacité de réponse au cas où de tels attentats se produiraient, notamment de leur capacité à activer le plan blanc et à rappeler les personnels. Mais cela n'a pas été au-delà : il n'y a pas eu de simulation grandeur nature d'un afflux massif de blessés dans les hôpitaux militaires parisiens.