À ma connaissance, il est possible qu'on ait demandé deux fois leur identité aux victimes : une première fois sur site, avant de les placer sur un brancard et de les emmener en véhicule, et, une seconde fois, à l'entrée de l'hôpital. Il y a peut-être eu des cas où l'information n'a pas complètement suivi entre ces deux moments. C'est le seul hiatus qui a pu se produire. Mais, à partir du moment où les victimes ont été enregistrées à l'entrée de l'hôpital, il n'y a eu aucune perte d'information, en tout cas dans les établissements de l'AP-HP.