S'agissant des éventuelles réorientations concernant l'organisation de l'AP-HP, le premier enseignement, c'est qu'il faut préserver notre potentiel. Il a été extrêmement sollicité, mais n'a été ni saturé ni désorganisé. Au cours des dernières semaines, j'ai participé à un retour d'expérience devant les ambassadeurs des vingt-sept autres pays de l'Union européenne, et j'ai discuté avec les Américains. Tous les observateurs, qui se sont informés en suivant les actualités ou en consultant les articles scientifiques que nous avons fait paraître, considèrent que nous disposons d'un système de haut niveau, à la fois en termes de capacités, de moyens techniques et de compétences professionnelles. C'est de nature à rassurer les Parisiens et les Franciliens.