Laurent Michel, directeur général de l'énergie et du climat au ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie :
Il est certes plus simple qu'un constructeur reconnaisse des erreurs. Reste que si le contrevenant n'est pas bénévolent, quand bien même nous « musclerions » les textes, il trouverait toujours le moyen de faire durer une procédure.