Intervention de Didier Quentin

Réunion du 8 mars 2016 à 17h00
Commission des affaires européennes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDidier Quentin :

Nous avons senti, parmi les Serbes, une nostalgie très nette de la Yougoslavie.

Nous avons aussi ressenti – même si cela a été exprimé courtoisement –, que la France n'avait peut-être pas été à la hauteur de l'amour qu'ils lui portent. Le monument en l'honneur de notre pays, sur lequel est inscrit : « Aimons la France comme elle nous a aimés », en souvenir de nos combats communs de la Première Guerre mondiale, est d'ailleurs un peu défraichi ; il faudrait songer à le restaurer.

Les Serbes ont également le sentiment d'être victimes de « deux poids, deux mesures ».

Enfin, en qualité d'ancien président du Conservatoire du littoral, je rejoins M. Verchère à propos de la question du littoral : les bouches de Kotor et les autres sites classés au patrimoine mondial de l'UNESCO ne doivent pas être massacrés, bétonnés. Nous avons recommandé à notre ambassadrice à Podgorica de prendre contact avec le Conservatoire du littoral.

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