En filigrane de vos propos apparaît la question des ressources humaines permettant d'assurer la permanence et la qualité du service. Vous avez souligné par ailleurs la lourdeur administrative des procédures d'HAD. Les prestataires de soins sont sans doute plus réactifs mais – et c'est le revers de la médaille – ils n'assurent pas la permanence des soins.