Les SVT produisent tous les mois, ligne à ligne, les opérations réalisées avec les investisseurs. Nous donnons donc à l'AFT des données d'achat net. Mais on ne sait pas si les acheteurs réinvestissent, on ne connaît pas le stock détenu, et on ne peut pas imaginer créer une base de données des détenteurs si ce n'est pas fait au niveau mondial. Si la France annonce demain qu'elle veut savoir qui détient quoi, les investisseurs se tourneront vers les obligations d'autres États.