Nous avons l'exemple du Japon : s'ils vont au terme du projet qu'ils ont annoncé, ils auront racheté environ 100 % de leur dette en 2017 ou 2018. On peut dès lors s'interroger sur l'intérêt à garder l'actif et le passif. On entre dans un domaine où la monnaie ne veut plus dire grand-chose.