Lorsque, conformément à la priorité de ce Gouvernement et à l'intérêt du pays, j'ai eu la semaine dernière le plaisir de présenter au Conseil des ministres une loi de programmation et d'orientation qui fait de l'école publique la priorité de ce pays, on ne vous entend pas plus, ni sur les 60 000 postes, ou la formation des enseignants.
On ne vous entend que sur la réforme des rythmes scolaires. Mon prédécesseur Luc Chatel, qui siège à vos côtés sur ces bancs, a mené pendant un an une consultation sur les rythmes scolaires.