Sur ce point, je me vois obligé de plaider coupable. En 2011, quand les prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine, qui étaient déjà passés de 10 % à 15,5 %, ont encore augmenté de deux points –, le Gouvernement souhaitait appeler ce prélèvement « CSG », mais j'ai demandé, avec succès, que nous retenions plutôt le terme de « prélèvements sociaux », pour éviter une éventuelle déductibilité de l'impôt sur le revenu.