Merci monsieur le président. Mais je reviens au problème du dégazage. Je considère que l'action de mon collègue qui se trouve à proximité de Roissy est justifiée. Cela dit, les avions dégazent d'abord au-dessus de chez nous. Le kérosène détaxé, c'est pour nous, pour nos salades, nos forêts, nos maisons ! D'ailleurs, j'aimerais bien connaître les chiffres. Est-on capable de quantifier les volumes ? C'est très important.
Je voudrais aborder un autre problème, qui ne l'a pas encore été : celui de la taxe professionnelle, qui était versée par les aéroports. Elle permettait tout de même de verser des compensations à ceux qui étaient impactés par les nuisances occasionnées. Où en est-on ? Quelles sont les compensations ?