Notre whip n'ayant pas épuisé son temps de parole m'a laissé deux minutes pour que je puisse intervenir en ma qualité de parlementaire du Nord-Ouest de la plateforme aéroportuaire de Roissy-Charles de Gaulle.
En préambule, je voudrais féliciter nos deux rapporteurs pour le volumineux rapport – 280 pages – qu'ils ont établi. Ensuite, je voudrais insister sur le fait que la France, notre beau pays, est la première destination touristique du monde. Je partage tout à fait ce qu'a dit notre collègue Gilles Savary, et je vous précise que Roissy-Charles de Gaulle est la porte d'entrée du monde, avec 70 millions de passagers à l'année.
Si nous voulons conserver notre capacité touristique, il ne faut pas casser le « joujou » que l'on a mis en place. À cet égard, je voudrais féliciter la DATAR qui, à l'époque, avait fait un travail remarquable. Elle avait vu juste lorsqu'elle a décidé d'implanter en Seine-et-Marne et dans le Val d'Oise cet aéroport fantastique. J'ajoute que les photos du lieu choisi pour la construction de l'aéroport montrent que celui-ci était relativement désert. Ce sont donc bien les élus qui se sont succédés qui ont construit autour de l'aéroport.